Un crypto guy investissant au bord d'une piscine
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Été 2024 : pourquoi c’est le meilleur moment pour investir en crypto ?

Investir ou ne pas investir, telle est la question (crypto) … Mais il est vrai qu’elle se pose un peu plus à certaines périodes, que l’on pourrait juger stratégiques… ou pas. Mais alors que l’on assiste à un bear market qui traîne des pieds et qui fait la moue, cette question revient sur le tapis.

Investir en cet été 2024 est-il aussi risqué que de planifier des vacances en Bretagne avec la météo du moment (pardon, du début de printemps ?). Notons déjà que si nous ne pouvons contrôler la météo, nous ne pouvons pas plus contrôler les baisses et les hausses du marché crypto. Ainsi, il n’y a jamais de “meilleur moment” garanti pour investir en cryptomonnaies, leur marché étant intrinsèquement volatile.

Maintenant que l’on s’est dit cela, il existe toutefois certains facteurs suggérant le potentiel qu’offre un investissement intéressant à un moment donné.

Le bear market continue, c’est le moment d’investir en crypto !

Vous n’y croyez pas ? Et bien, si. Le marché baisse depuis plusieurs mois et si l’euphorie a été palpable en mars, les prix sont redescendus. Ou tout du moins, tanguent comme un catamaran au Cap Horn. Ils sont donc généralement plus bas qu’à leur pic. Voilà sans aucun doute une belle opportunité pour les investisseurs d’acheter des cryptomonnaies à des prix plus avantageux. Bien évidemment, dans l’espoir d’une future appréciation. Et si les opportunités se font moins timides, c’est sans compter sur votre goût aiguisé de la recherche ! Voyez plutôt…

Le bear market continue ? C’est le meilleur moment pour penser stratégie d’investissement crypto !

L’été, place au farniente pour certains, avec les vacances qui ralentissent l’espace temps. Pour d’autres, c’est finalement la meilleure période pour penser stratégie et investir bien ou mieux. C’est donc la période propice pour :

  • Comprendre les risques encourus avec tel ou tel investissement, d’où viennent certaines fluctuations importantes de prix, si vous risquez d’y laisser vos plumes ou pas…
  • Approfondir vos recherches : sortez votre loupe, c’est l’heure de jouer au détective et de fouiner dans les projets (vraiment) intéressants, leurs technologies sous-jacentes… etc. Et puis d’être un peu visionnaire en affûtant votre flair pour investir dans une crypto durable avec ces 7 piliers.
  • Diversifier votre portefeuille : Encore une fois… Tous vos œufs dans le même panier… est risqué. C’est le moment de diversifier vos jetons.
  • Définir votre plan d’investissement sur les six prochains mois : et potentiellement investir uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre (toujours en approfondissant vos recherches et en couplant aux différentes prédictions faites sur la période).
  • Même chose sur le long terme : pensez investissements durables. Staker est bon pour la santé (de votre crypto wallet). L’investissement en DCA (Dollar-Cost Averaging) peut aussi être intéressant, car cette approche permet de lisser le prix d’achat moyen et de réduire l’impact de la volatilité à court terme. Vous investissez un montant fixe à intervalles réguliers, indépendamment du prix. Et au final, vous achetez plus de coins lorsque les prix sont bas !

Le bear market continue ? L’adoption des cryptos aussi !

Le marché baisse, certes. Mais à en voir l’adoption croissante et l’intérêt grandissant pour les cryptomonnaies, ce n’est pas le moment de baisser les bras. Le nombre de détenteurs de cryptos ne cesse de croître, estimés à 300 millions en 2024. Sans oublier l’intérêt des institutions financières traditionnelles (banques, sociétés, fonds d’investissement) qui rendent légitime son adoption… Et l’instabilité politique actuelle qui pousse à l’achat de crypto comme réserve de valeur ou comme moyen de transférer des fonds de manière plus sûre.
Cela suggère une augmentation potentielle de la demande à long terme, ce qui pourrait entraîner une hausse des prix.
Et là, BAM. Ou plutôt BULL. Ça repart !

Le bear market continue ? L’innovation technologique en crypto aussi !

Pendant que les courbes s’endorment, le développement technologique, lui, poursuit son évolution. L’innovation dans le domaine de la blockchain et des cryptomonnaies produit donc de nouvelles technologies et applications prometteuses en cours de développement. Et heureusement d’ailleurs. La valeur générée par certaines cryptos comme le $GALEON continue d’évoluer avec le temps et augmente. Et pendant que l’ours s’endort, le taureau gratte d’impatience au fond du box. Patience, bientôt ses cornes feront à nouveau des étincelles contre la lisse de l’arène…

Été 2024 : Le meilleur moment pour investir en $GALEON

Si vous doutez encore du projet sur lequel investir, nous ne pouvons vous en vouloir. Mais sachez que certains comme Galeon, ont plus de sens et d’impact que d’autres. Déjà parce que Galeon s’inscrit dans le domaine de la santé et a une réelle utilité publique (la santé touche tout le monde !). Si Galeon est un projet sérieux et reconnu par la Haute Autorité de Santé, et se dote de certifications comme l’ISO 27001 et HDS, il a aussi reçu 3 Innovations Awards au CES de Las Vegas.
Galeon rassemble une communauté de plus 40 000 investisseurs, qu’ils soient médecins, soignants, membres hospitaliers et tout autre profil, très impliquée dans l’avenir de la santé et la décentralisation de la science. Détenteurs du jeton $GALEON, ils sont les Pionniers du nouveau système de santé que propose ce projet DeSci.
Devenir membre de cette communauté et investir en $Galeon, c’est participer à l’amélioration du soin pour tous et pour vous, en premier lieu.
Pourquoi ?

  • Vous développez la visibilité du projet et sa légitimité afin que de plus en plus de centres de soin rejoignent l’aventure. Et donc que la communauté grossisse.
  • Vous aidez Galeon à améliorer les fonctionnalités de son logiciel et donc à se développer pour toutes les spécialités de l’hôpital. Vous aidez donc les soignants à mieux travailler, tous les jours,
  • Vous votez pour soutenir des recherches à but non lucratif financées par la DAO de Galeon,
  • Vous financez la recherche médicale et aider la médecine prédictive à monter d’un cran.

Investir en $Galeon, c’est donc bien pour vous, pour les soignants, pour l’hôpital, et surtout pour permettre un meilleur accès au soin, au global.

Voilà.
Maintenant, vous savez ce qu’il vous reste à faire, que vous soyez coincé sur votre chaise de bureau, à votre pause déj avec votre collège pénible ou posé sur un transat brûlant au bord de la piscine. Prenez le temps de penser stratégie d’investissement adaptée à votre profil de risque, et ne perdez surtout pas espoir. Cela pourrait justement bien être LE moment pour dire OUI à la crypto.

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Image to illustrate DeSci with a giant futuristic library that represents DeSci and blockchain as a scientific research revolution
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DeSci: le buzz word qui fait vraiment la différence dans la santé

DeSci, pour Science Décentralisée. Mais avant d’en dire trop sur sa décentralisation, parlons d’abord la science traditionnelle.

Pourquoi la science traditionnelle n’est pas équitable

En 2024, la recherche scientifique réside dans les mains de quelques organisations. En effet, gouvernements, grosses entreprises et grandes maisons d’édition décident si un projet scientifique est suffisamment intéressant pour recevoir des fonds et être partagé au reste du monde ou non.

Ici apparaît la censure. Et ce n’est pas de cette manière que la science avance, progresse.
Si le projet est intéressant ? Il est publié et enfin reconnu pour son sérieux. Mais si ce n’est pas le cas…, le projet reste dans l’ombre, qu’il soit vraiment utile à la science ou non. Et personne n’en entend parler.

Le problème avec ça ? Aujourd’hui, les scientifiques ont du mal à obtenir des fonds et des subventions pour mener leurs recherches. Et au lieu de faire ce à quoi ils sont bons, leur travail de recherche, ils passent leur temps à demander des fonds… Et donc créer et rédiger des propositions de financement pour attirer l’attention des journaux de recherche et des journaux.

Il y a un autre problème ici. Les revues de recherche ou scientifiques elles-mêmes. Les scientifiques et les chercheurs partagent leurs études et leurs nouvelles découvertes à travers ces revues. C’est ainsi que l’information scientifique (sous forme d’articles ou de publications) est partagée avec le reste du monde médical. Mais bien sûr, cela reste entre les mains des revues, encore une fois.

Comment sont partagées les recherches scientifiques concrètement ?

Simple : les scientifiques ou les chercheurs envoient leurs résultats aux revues. Les rédacteurs les envoient ensuite à un pool d’autres scientifiques travaillant dans le même domaine pour les valider. C’est ce qu’on appelle le « processus de relecture par les pairs ». Les pairs scientifiques donnent leur avis sur la possibilité de publications par la revue scientifique ou non selon les résultats. Ensuite, la soumission de l’étude est décidée. Parfois, une étude peut prendre des années avant d’être publiée.

Malheureusement, on observe une tendance ici : les revues choisissent généralement de publier les études les plus rémunératrices. Et laissent de côté les “mauvais” résultats, car elles savent qu’ils ne feront pas de bonnes ventes. Les scientifiques déterminent alors le sujet de leurs recherches en fonction de cela, répétant ainsi des recherches déjà effectuées ailleurs à plusieurs reprises, sans qu’ils ne le sachent.

Il est difficile d’aller à l’encontre de ces mastodontes tant ils contrôlent l’édition académique. Ils ont le pouvoir de détruire ou de propulser la carrière d’un scientifique.

Partager des informations entre les scientifiques est également difficile. La majorité des études « négatives », montrant de mauvais résultats, ne sont tout simplement pas publiées. Ou elles peuvent également rester dans des bases de données privées. Ces résultats d’études stagnants conduisent les scientifiques à refaire les mêmes recherches encore et encore dans différents coins du monde, sans savoir que leurs études ont connu le succès ailleurs. Parce que les résultats ne sont pas rendus publics, de l’argent est gaspillé avec des réplications de tests et des coûts de recherches.

Tout cela freine l’évolution de la science.

La DeSci, une aubaine pour le progrès de la recherche scientifique

L’évolution traditionnelle de la science continue son chemin, malgré les difficultés mentionnées ci-dessus. Mais l’information scientifique pourrait se diffuser à vitesse lumière, bénéficiant à toute l’humanité.

“Open source”, ou “libre accès” signifie qu’il n’y a pas de barrières financières, légales ou techniques à l’accès à l’information. Cela signifie que les gens peuvent la lire, bien sûr, mais aussi la télécharger, la partager, la copier ou l’imprimer.

C’est là que la science décentralisée joue un rôle énorme. Elle rend la science collaborative et les résultats ouverts à tous. Parce qu’elle est décentralisée, elle permettrait une plus grande rapidité et diffusion des découvertes dans tous les domaines scientifiques.

Ce processus crée un système de recherche plus équitable. Les chercheurs peuvent demander plus de fonds. Ils peuvent par exemple rechercher un accès en ligne ouvert aux publications d’informations académiques ou aux données.

Grâce à la DeSci, la prochaine industrie révolutionnée sera la recherche scientifique.

La blockchain secoue la science traditionnelle and la santé

La science décentralisée a commencé à gagner en influence et en popularité en tant que mouvement en 2020-2021 avec des projets et des initiatives menés par la communauté scientifique. Des groupes de scientifiques ont commencé à explorer l’écosystème et les technologies de la blockchain. Ils ont appliqué des idées et des concepts décentralisés à la science pour l’améliorer, vers une version plus moderne.

Ces réseaux blockchains peuvent aider à financer les recherches scientifiques mais aussi le partage de leur résultat. La DeSci et les entreprises qui ont commencé à travailler avec comme Galeon ont toutes les mêmes but:

  • N’être plus dépendant des acteurs de la Big Pharma ou des maisons d’édition,
  • Libérer la recherche scientifique grâce à l’accès ouvert aux données, études ou publications,
  • Faciliter la communication de l’information et la collaboration entre les scientifiques du monde entier,
  • Faciliter le financement de la recherche.

Les perspectives d’améliorations rapides et les promesses de la DeSci sont grandes.

Les Organisations Autonomes Décentralisées (ou DAO) au cœur de la DeSci

La révolution DeSci pend forme à travers les DAOs. Ce sont des entités ou des organisations fournissant une structure à une communauté, rassemblées autour d’un projet spécifique auquel elles croient. leurs membres collaborent ensemble, participent et contribuent à la prise de décision démocratique au sein de cette organisation.

Appliquées à la science, les DAOs rassemblent des chercheurs, des scientifiques, des médecins, des soignants, des patients, mais aussi des investisseurs de projets scientifiques et d’autres communautés qui communiquent ensemble. Ils proposent des projets répondant aux besoins urgents de la communauté. Ils prennent des décisions démocratiques à leur sujet et collaborent pour les financer et les soutenir grâce à un réseau mondial de pairs et de parties prenantes.

Depuis 2016, la DAO de Galeon rassemble une communauté de 40 000 Pionniers intéressés par la santé, la blockchain et l’intelligence artificielle. Ils sont patients, soignants, médecins, scientifiques, hôpitaux, innovateurs, investisseurs et autres. Grâce à la blockchain de Galeon qui connecte les hôpitaux entre eux et ses IAs, ils permettent plus de progrès médicaux et le partage de valeur au sein de la communauté autour de Galeon.

Tous les acteurs de Galeon s’alignent grâce à la blockchain.

Découvrez-en plus sur notre DAO dans notre livre blanc.

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infirmière dans un hôpital gérant la donnée médicale
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Donnée médicale : un autre traitement pour un hôpital plus efficace

L’hôpital croule sous la donnée. Que l’on parle d’informations tirées de consultations ponctuelles ou bien d’hospitalisations prolongées, les soignants s’affairent bien souvent à gérer cette donnée plutôt qu’à réellement prodiguer des soins à leurs patients. Mais ces données ne sont pas toutes les mêmes. Et il existe certaines façons de les collecter, les traiter et les réutiliser beaucoup plus efficaces que d’autres.

Un patient génère 5 courriers en moyenne par jour par hôpital

Arrêt sur image, un nombre impressionnant de patients défilant au sein d’un hôpital à l’année. 5 courriers, c’est le chiffre tiré d’un des hôpitaux ayant intégré Galeon comme DPI. Toujours pour ce même groupe hospitalier, nous dénombrons plus de 57 000 consultations sur les 3,5 dernières années.
Si l’on ramène cela à 365 jours, c’est grosso modo plus de 80 000 documents envoyés aux patients. 285 000 sur plus de 3 ans. Et puisqu’une grande majorité d’hôpitaux travaillent encore sur papier… Les chiffres sont tout simplement renversants.

Ces documents prennent différentes formes, selon les pays. Si nous prenons l’exemple de la France, par exemple, une synthèse médicale de séjour est systématiquement envoyée pour une hospitalisation de plus de 24h. D’autres courriers comme les comptes-rendus de consultation sont envoyés au médecin traitant du patient et/ou à d’autres spécialistes puis au DMP (Dossier Médical Partagé).

Il existe aussi les prescriptions, normées par la HAS (Haute Autorité de Santé en France), et possèdent une haute valeur médico-légale. Leur usage est externe à l’hôpital.
D’autres documents sont très importants, comme celui de la déclaration de naissance. Elle permet de déclarer la citoyenneté d’un individu et de demander ses papiers d’identité.

Le quotidien des soignants est fastidieux. Car s’ils doivent générer bon nombre de documents, ils doivent aussi utiliser plusieurs logiciels dans un même service pour travailler. Dans certains cas, ils doivent procéder jusqu’à 7 signatures au total juste pour prescrire un seul médicament pour leur patient. À raison d’une vingtaine de patients par jour (voire plus), le calcul est vite fait. Ils n’ont tout simplement pas le temps et finissent par ne plus prescrire ce traitement, si le cas du patient n’est pas critique.

Le stockage de la donnée médicale au format papier pose problème

Au vertige de ces chiffres n’est évidemment pas comptabilisé le coût de stockage ainsi que le transport des dossiers patient papier lorsque le lieu d’archivage est à quelques Km de l’hôpital (parfois 20 Km !).

Ces dossiers papier peuvent atteindre une cinquantaine de pages. Et pour récupérer un dossier ? Deux cas possibles ici :

  • soit le soignant a de la chance et il obtient le dossier en 4 ou 5 jours car ce dernier se trouve dans l’hôpital.
  • Soit il le reçoit sous plus d’une semaine, car il faut aller le chercher au centre d’archives… En incluant des frais élevés de coursier et une empreinte écologique en bonus…

La gestion du papier relève alors du défi pour les centres hospitaliers. Il est consommé de manière excessive, bien sûr, mais il pose aussi des problèmes de confidentialité pour la donnée de santé. Les dossiers papier peuvent être facilement volés, perdus ou même détruits involontairement dans certains cas (ex de cas d’inondation du centre d’archives).

Galeon révolutionne le quotidien de l’hôpital en hyper-structurant les données médicales

Réduire le nombre de courriers par patient (ou le nombre de patients tout courts) dans l’hôpital paraît difficile, voire impossible. En revanche, un temps considérable peut être gagné sur le planning quotidien d’un soignant. Tout cela en réduisant les frais de gestion du papier pour l’hôpital et autogénérant systématiquement tous ces documents sur la base de la donnée patient rentrée dans chaque dossier.
Alors comment s’y prend-on ?

Rappelons déjà qu’un DPI stocke la donnée, oui et peut le faire de manière intelligente en l’hyper-structurant, grâce à l’intelligence artificielle. Et surtout de manière simple. C’est ce que fait Galeon. Les professionnels de santé rentrent les diverses informations du patient dans le logiciel, en suivant des protocoles déjà préremplis au sein du logiciel.
Un avantage majeur qui leur évite de réécrire les mêmes éléments plusieurs fois à plusieurs endroits, et donc les erreurs ou les oublis. Un gagne temps certain !

Galeon structure la donnée médicale pour autogénérer les courriers de l’hôpital

Galeon ne s’arrête pas aux protocoles tout embarqués au sein du logiciel. Grâce à son module de paramétrage boosté à l’IA, le nom, prénom du patient… et autres informations importantes remontent automatiquement dans les courriers, prescriptions, etc, grâce à un système d’étiquettes. Ce flux de données est optimisé à travers la structuration de cette donnée.

Les documents sont autogénérés par le logiciel. Ils sont aussi personnalisables selon les besoins de chaque hôpital et sont aussi envoyés au DMP. Pour des résultats biologiques par exemple, les soignants peuvent gagner 2 minutes en moyenne par patient. Soit un total de 80 jours sur 3 ans (pour l’hôpital du début de l’article). Ce module de paramétrage ne nécessite pas de formation lourde ou particulière, car il n’est pas complexe à utiliser.
Un vrai plus pour tout le monde.

Galeon sera présent à Santexpo, au stand l59 et sera ravie d’accueillir sur son stand les dirigeants et DSI d’hôpitaux pour leur présenter son Dossier Patient Informatisé.

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a hacker doing a cyberattack in a hospital
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Cyberattaques dans les hôpitaux : ce qui arrive à vos données

Vous triez vos emails tranquillement chez vous. Et puis une ligne attire votre œil. Un mail particulier de votre hôpital alors que vous n’y avez pas mis les pieds depuis 3 ans et demi. Et ce mail-là n’est pas tout à fait ce que l’on appelle “positif”. La goutte au front, vous lisez. La nouvelle est tombée : une cyberattaque a touché votre centre de soin, générant une fuite de données massive.
Vous sentez que c’est grave. Mais grave comment ?
Restez avec nous, on décrypte les cyberattaques plus bas.

Les cyberattaques dans les hôpitaux sont fréquentes, et leur nombre sous-estimé

Les chiffres des cyberattaques ne plaisantent pas. Par exemple, pour 2022 en France, le coût total des attaques à succès contre des institutions publiques ou des entreprises privées revient cette année-là à 250 milliards d’euros, selon l’étude d’Asterès.
Une nouvelle cyberattaque a eu lieu dans la nuit du 10 février dernier au CH d’Armentière (faisant partie du GHT de Lille) dans le nord de la France. Le centre hospitalier a dû fermer les portes de ses urgences pour réorganiser l’arrivée de ses patients et leurs traitements. Tous les ordinateurs ont été plongés dans le noir, après le lancement pour impression du message ‘ransom demand’ (demande de rançon) dans toutes les imprimantes de l’hôpital. Les patients ont alors été déplacés dans un autre hôpital. La maternité, elle, a été moins impactée, mais ce sont tout de même 130 dossiers patients qui ont dû être imprimés pour assurer le suivi des mamans. Dossiers papiers qui auraient pu se retrouver entre de mauvaises mains, perdus, ou volés… À nouveau.
L’hôpital a été impacté pendant 3 jours.

Parfois même, les assurances refusent d’assurer les chirurgiens qui opèrent sans avoir l’accès à un dossier patient. Les hackers peuvent procéder de différentes façons, mais la plus fréquente reste le phishing (envoi de SMS ou emails qui incitent à cliquer sur un lien ou télécharger un fichier contenant un malware (logiciel malveillant). Parfois, ils se déplacent même jusque dans l’hôpital pour y laisser une clé USB infestée. Ils peuvent ensuite rentrer en possession des services, crypter les données, les voler, ou encore surveiller les activités de l’hôpital.
Cyberattaques effrayantes pour ceux qui les vivent en direct, mais aussi pour les patients impactés par la fuite de données, lorsque l’on sait ce que ces dernières peuvent devenir…

Concrètement, qu’arrive-t-il après une cyberattaque ?

L’hôpital doit généralement répondre à la demande de rançon. Mais les hôpitaux publics n’ont pas le droit légalement d’y répondre, en donnant de l’argent aux hackers. La CNIL recommande ici de ne rien payer puisqu’aucune certitude de récupérer les données volées n’existe.

L’hôpital vérifie tout d’abord la sécurité des systèmes d’information, analyse l’attaque en détail pour paramétrer les priorités de restauration, avec l’aide de l’ANSSI (l’Agence National en charge de la sécurité des systèmes d’information).
La CNIL peut également intervenir en envoyant une mise en demeure aux hôpitaux utilisant des DPIs qui ne seraient pas suffisamment sécurisés. Ils requièrent alors des mesures correctives à appliquer aux traitements des données par l’hôpital.


Des traitements spécifiques au niveau de la confidentialité des données peuvent être demandés pour les patients venant d’institutions pénales.
Mais un point reste important ici : l’accès au DPI. Qui a pu s’y connecter ? Et quand ?  Qu’est-ce que la personne malveillante y a fait ? Le contrôle de cet accès a besoin d’être fait régulièrement afin de repérer d’éventuels actes frauduleux dans le logiciel.

Quelles conséquences sur vos données après une cyberattaque ?

Plusieurs ici qui ne présagent rien de bon…

  • Un grand nombre de spams vous sont envoyés, tout comme un grand nombre d’appels en numéro masqué sont reçus avec une régularité déconcertante.
  • Vos informations personnelles sont rendues publiques sur internet (nom, prénom, numéro de sécurité sociale, vos informations médicales comme vos maladies génétiques, cancers, résumé de consultations, résultats d’examens biologiques, pathologies…).
  • Vos informations personnelles ou pire…, vos données bancaires sont utilisées à (très) mauvais escient.
  • Ou elles sont vendues sur le black market (minimum 200€ proposés pour un dossier patient).
  • Vos mots de passe volés servent à répliquer une nouvelle attaque.

Les données de santé sont aujourd’hui d’une valeur inestimable. Le plus de données volées, le plus d’argent récolté ! Et plus le patient possède de pathologies, plus la donnée a de la valeur.

Avec une telle donnée, il est facile d’imaginer ce que l’on peut faire… Créer de nouveaux traitements, enjoliver tout le marketing qui va autour d’un médicament, improviser des diagnostics, faire de la médecine prédictive aussi…

Plus il y a de valeur à aller chercher, plus il y a d’argent en jeu.
La première personne à trouver un nouveau traitement, par exemple, gagnera le marché. Et c’est pour cette raison qu’il n’est pas important, mais obligatoire pour un DPI de fournir une solution de stockage des données sécurisée et répondant à toutes les obligations légales et évolutives d’un pays.

C’est exactement ce que fait Galeon avec son DPI certifié HDS et ISO 27001.

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Un taureau attaquant, sur un fond cosmique de lignes graphiques
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7 techniques pour investir en crypto pendant le bull run

Investir durant les périodes de bull run demande de la stratégie

Pour commencer, un rapide rappel de ce qu’est une période de bull run. Il s’agit d’une période soutenue où les prix augmentent sur le marché des cryptomonnaies. Elle se caractérise également par des tendances clairement à la hausse, avec une pression des ventes des actifs numériques qui baisse et un volume des échanges d’actifs qui augmente.

Les bull runs (ou bull markets) durent généralement de quelques mois à plusieurs années. Tout comme pour les bear markets, même s’il y a de nombreuses différences entre les deux.

Gardons en tête que si cette période de bull run montre une bonne dynamique et des opportunités de rendements intéressants, les investisseurs doivent toutefois suivre de très près les tendances : un prérequis pour repérer un changement dans les tendances et agir en conséquence.

Et tandis qu’il existe de nombreux types d’investisseurs en cryptomonnaies, il existe également plusieurs techniques d’investissement rencontrées lors d’un bull run. Restez avec moi : un tour d’horizon des 7 méthodes courantes que les investisseurs utilisent pour investir et réaliser des profits vous attend ci-dessous.

Prêt à investir en bull run ?

Si à l’heure actuelle, nous ne sommes pas sûrs d’être déjà entrés dans une période de marché haussier, il y a certaines choses à connaître comme les techniques utiles pour commencer à investir dans la crypto.

  1. La technique du Buy and Hold (dite « HODL ») :
    Quel comportement typique pour cette technique ? Les investisseurs achètent ici des actifs numériques et les conservent pendant une période prolongée pour les vendre plus tard, indépendamment des fluctuations de prix sur le court terme. C’est ce que font la plupart des détenteurs de $GALEON en achetant leurs jetons et en les stakant.

  2. La technique du Dollar-Cost Averaging (ou dite « DCA ») :
    Le DCA concerne l’investissement d’un montant fixe (hebdomadaire ou mensuel), établi à intervalles réguliers quel que soit le prix actuel de la cryptomonnaie. Cette stratégie permet de lisser et de réduire l’impact de la volatilité sur le marché. Elle peut être efficace pendant les bull runs pour accumuler progressivement des actifs au fil du temps. C’est également une technique comportant moins de stress car elle ne nécessite pas de se tenir informé tous les jours, et implique une vision plus longue-termiste.
    Alors… la meilleure façon de procéder ? Définir le montant total que vous souhaitez allouer à un actif en particulier pendant les 12 prochains mois et la fréquence des entrées (cela peut être des entrées hebdomadaires ou mensuelles). Ensuite, vous avez juste à diviser ce montant total par le nombre d’entrées qui seront réalisées pendant ces 12 mois à venir.
  3. La méthode Trading :
    Trader activement revient à acheter et vendre fréquemment des cryptomonnaies pour profiter des mouvements de prix sur du court terme. Les investisseurs peuvent utiliser plusieurs outils pour cela : analyses techniques, modèles graphiques ou encore indicateurs clés pour identifier les points d’entrée et de sortie des échanges.
    Ils suivent les tendances, les percées et le « momentum trading », le moment clé pour investir en d’autres termes. Comparée à la technique précédente, elle est plus stressante et nécessite plus de temps pour vérifier ces indicateurs et rester à la page.
    L’astuce est de construire un plan de trading à l’avance, puis de sélectionner sa plateforme de trading en crypto préférée, puis de surveiller de près ses investissements.
    Par exemple, un investisseur peut prédire la baisse de la valeur de l’$USD. Ensuite, il décide de le vendre contre des $BTC. Si sa prédiction est correcte, il bénéficie de cet échange. Si l’$USD augmente par rapport au Bitcoin, il y perd lors de cette transaction.
  4. La technique « effet de levier » (dite « leverage ») :
    Certains investisseurs peuvent utiliser l’effet de levier pour amplifier leurs positions pendant un bull run et augmenter leur retour sur investissement et leurs profits. Les traders empruntent des fonds afin de multiplier les retours potentiels sur leurs investissements. Ce faisant, ils peuvent mieux contrôler leur position même avec un plus petit capital. Mais cette technique comporte également des risques plus élevés : les pertes peuvent dépasser les investissements faits à l’origine…
    Par exemple, si un trader utilise un effet de levier de 5x, cela lui permettrait de contrôler une position 5 fois plus grande que ce qu’il a investi initialement. Imaginons qu’il ait 100 $, il pourrait alors ouvrir une position de 500 $ en utilisant cet effet de levier.

  5. Le « swing-trading » :
    Ici, les investisseurs font le choix de vendre rapidement leurs actifs numériques pour maximiser leurs profits potentiels. Cette technique implique des risques significatifs mais peut offrir des opportunités de rendements élevés si le ou les projet(s) réussisse(nt). Cette façon de faire est efficace sur une courte période mais nécessite également de se tenir au courant des dernières tendances du marché crypto.
  6. La technique de diversification :
    Assez simple à comprendre ici : les traders diversifient leur portfolio avec plusieurs actifs numériques. Pourquoi ? Réduire les risques et aussi saisir les opportunités à travers différents segments du marché !
    Ils choisissent de mettre leurs œufs dans… différents paniers. Ils ouvrent des positions diversifiées sur différents actifs numériques pour maximiser leurs gains tout en réduisant le risque de perdre beaucoup avec une ou deux cryptomonnaies seulement.
    Ils pourraient choisir selon :
    o Divers cas d’utilisation,
    o Diverses blockchains,
    o Différents secteurs,
    o Les Market caps,
    o La géographie…
  7. La technique de “Staking et Yield Farming” :Pour une autre partie des investisseurs, certains peuvent participer à des activités de staking ou de yield farming pour gagner des récompenses supplémentaires ou des intérêts sur leurs holdings.
    Cela nécessite de verrouiller ses cryptomonnaies dans des « smart contracts » ou des protocoles de finance décentralisée (DeFi) pour soutenir les opérations du réseau ou fournir des liquidités en échange de récompenses.
    Le Yield Farming nécessite une gestion plutôt active afin de fournir des liquidités à la finance décentralisée. Il comporte des risques : perte impermanente, vulnérabilité des smart contracts et fluctuations du marché…

Quelque soit votre type d’investisseur et la technique que vous choisissez, aucune d’elles n’est plus efficace qu’une autre. Le retour sur investissement n’est jamais garanti à 100%. Gardons donc un œil sur les dernières tendances et préparons-nous efficacement pour le prochain bull run !

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bull and bear markets
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Quelle différence entre bull et bear market dans la crypto ?

Avez-vous déjà entendu parler des termes bull et bear market sur Internet ?
Ces deux mots sont fréquemment utilisés dans le monde de la finance. Ils font référence à une tendance à la hausse et à la baisse du marché boursier et sont des notions que les investisseurs examinent de plus près lorsqu’ils gèrent leurs investissements. Et dans le monde de la crypto aussi.

Pourquoi bull et bear market ?

En effet, bonne question.
Pourquoi utiliser les mots bull (pour taureau en anglais) et bear (pour ours) lorsqu’il s’agit de marchés financiers ? Eh bien, pour certaines personnes, le bear market tient son nom du fait que lorsqu’un ours attaque son adversaire, il utilise ses griffes pour l’abattre au sol. Faisant référence directe au marché baissier (prix qui vont vers le bas). Quant au bull market, il fait référence à l’attaque d’un taureau : l’animal utilise ses cornes en donnant des coups vers le haut pour atteindre son adversaire. Tout comme la tendance du marché haussier le fait.

Ok, à question simple, réponse finalement assez simple. Plongeons maintenant au cœur de leur propre définition pour mieux comprendre leurs différences.

Qu’est-ce qu’un bear market ?

En crypto, un bear market fait référence à un marché baissier, expérimentant une période prolongée de baisse du prix des cryptomonnaies. Durant un bear market, le sentiment des investisseurs est plutôt (et majoritairement) négatif. Ce qui conduit à une tendance baissière soutenue des prix au niveau de divers actifs numériques.

Dans de telles conditions de marché, la pression de vente dépasse la pression d’achat, ce qui fait diminuer les prix de manière continue. Les volumes de vente augmentant pendant le bear market, on assiste alors à une certaine volatilité des prix. Et si les ventes augmentent, alors une tendance apparaît avec un manque de confiance de la part des investisseurs, menant à de nouvelles baisses. Comme un cercle vicieux… Ces périodes de bear market peuvent durer un certain temps : de plusieurs mois à des années.

Elles coïncident souvent avec des ralentissements économiques plus larges. Cela peut être dû à des événements réglementaires significatifs au sein de l’industrie des cryptomonnaies, par exemple.

S’il fallait donner quelques exemples de bear markets à garder en tête, nous pourrions mentionner le crash des cryptomonnaies de décembre 2017 où le Bitcoin a chuté drastiquement de 20 000 $ à 3 200 $ en seulement quelques jours. Un autre exemple plus récent s’est produit en 2021, année où le mining Bitcoin a été confronté à des enjeux sociaux, corporate et de gouvernance environnementale. En parallèle, Elon Musk l’a également exclu de sa méthode de paiement pour permettre l’achat de véhicules Tesla.

Qu’est-ce qu’un bull market ?

Ici, peu de surprise : un bull market est l’opposé d’un bear market. C’est une période prolongée de hausse des prix où règne un sentiment global positif chez les différents investisseurs en cryptomonnaies.

Pendant cette période, l’optimisme se répand largement et les achats augmentent. Les investisseurs observent des mouvements de prix des actifs numériques clairement à la hausse. Ces derniers deviennent plus confiants en général quant au potentiel de croissance future. Chose plutôt positive qui encourage directement un investissement et une spéculation supplémentaires de leur part.

Les bull markets sont typiquement caractérisés par des tendances à la hausse fortes, une pression de vente réduite et des volumes de transactions en augmentation.

Certains facteurs peuvent caractériser ces périodes tels que :

  • des conditions de marché favorables,
  • des avancées technologiques,
  • une adoption des crypto accrue,
  • des évolutions réglementaires favorables,
  • ou même un investissement institutionnel significatif.

Tout comme pour le bear market, le bull market dure des années. Il offre souvent de belles opportunités aux investisseurs avec des prix d’actifs attractifs.

Pour citer quelques périodes de hausse :

  • 2015-2017 : les prix du Bitcoin passent de 200 $ en décembre 2015 à 670 $ en décembre 2017 en raison de la couverture médiatique grand public des cryptomonnaies.
  • 2020- 2021 : de septembre 2020 à novembre 2021, on observe une demande grimpante des paiements numériques, ce qui a un impact sur les cryptos pendant la pandémie de COVID-19. Ce bull est suivi ensuite de la période de bear market dite « Crypto Winter » de 2022.

Il existe de nombreuses techniques pour investir pendant une période du bull run.

Marché crypto 2024 : déjà dans le bull run ?

Depuis le début de cette année, le prix du Bitcoin a considérablement augmenté. Cela pourrait marquer l’entrée dans le bull run avec un afflux d’argent, provoquant une flambée des prix.

Selon Glassnode, le market cap du Bitcoin a augmenté de 141,2 % depuis décembre 2023. La capitalisation d’Ethereum a augmenté de +79,4 %. Le fait qu’Ethereum ne surperforme pas encore Bitcoin nous montre qu’il y a encore une marge de progression en termes de croissance chez les larges caps et les Altcoins.

Certains experts de Wall Street estiment même que le Bitcoin atteindra 100 000 $ en 2024.

Une chose est sûre : les investisseurs doivent continuer à se tenir informés, car le marché des cryptos semble se réveiller doucement, mais sûrement.

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Un hacker énervé devant son ordinateur
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Certifications HDS et ISO 27001 : pourquoi est-ce si important ?

Une révolution dans le paysage de la sécurité des données de santé grâce à l’IA

Dans le contexte complexe touchant à la santé et aux soins, Galeon combine intelligence artificielle et blockchain à la sécurité des données de santé. L’idée ici est de protéger à la fois les patients et les hôpitaux. Galeon s’attelle depuis plus de sept ans à repousser les limites de la médecine en utilisant certaines technologies à la pointe. Fait reconnu par les certifications HDS et ISO 27001 qu’elle a reçu récemment de l’Afnor.

Inutile de dire que notre système de santé actuel est confronté à différents défis, tels que les conditions de travail des professionnels de la santé, les contraintes financières et le manque de ressources dans les hôpitaux ou encore les menaces accrues des cyberattaques.
Dans ce contexte, la solution innovante de Galeon apporte un rayon d’espoir. Il sécurise et hyper-structure efficacement les données sensibles de l’hôpital grâce à un outil intuitif et avancé de DPI (Dossier d’Informations Partagées). Ce dernier permet le stockage confidentiel de :

  • Résultats de laboratoire,
  • Antécédents médicaux,
  • Diagnostics,
  • Traitements,
  • Allergies,
  • Et bien plus encore.

Il a déjà été adopté par douze hôpitaux français. Il connecte tous les services hospitaliers à l’échelle nationale et internationale, offrant ainsi une interopérabilité sans précédent entre eux.

L’Afnor délivre les certifications HDS et ISO 27001 à Galeon

Renforcer la sécurité fait partie des caractéristiques technologiques principales de Galeon. En effet, comme mentionné précédemment, l’objectif principal est clair : protéger le patient en sécurisant ses données, bien sûr avec son consentement.

Pour répondre spécifiquement à ce besoin, Galeon garantit :

  • un contrôle rigoureux de l’accès aux données,
  • des sauvegardes automatiques,
  • et un cryptage avancé pour protéger les données contre les cybermenaces.

C’est un fait : lorsqu’une cyberattaque se produit, Galeon a déjà prouvé sa capacité à maintenir les opérations hospitalières grâce à son système HDP® (Hacker Defense Protection®). En cas d’intrusion dans le système de sécurité local, le logiciel passe en MODE SÉCURISÉ. En attendant, les soignants peuvent toujours sauver des vies et faire leur travail. Les patients n’ont pas besoin d’être transférés d’un hôpital à un autre. Galeon a également été récompensé lors du CES 2024 par 3 Innovation Awards, dont le prix de l’innovation en matière de cybersécurité et de confidentialité.

Galeon s’est toujours engagé à garantir la protection et la confidentialité des données de santé de manière intransigeante. Il est considéré comme un partenaire de confiance pour les professionnels de la santé et c’est pourquoi l’entreprise a reçu les certifications HDS et ISO 27001 en décembre dernier par le groupe Afnor (l’Association française de normalisation).

Au cœur de l’initiative ? L’utilisation de l’intelligence artificielle sur des données de santé structurées et à grande échelle, combinée à un réseau collaboratif décentralisé appelé Blockchain Swarm Learning® sur lequel les IA sont entrainées. Cette approche innovante garantit la sécurité et l’intégrité des données tout en empêchant toute tentative de copie non autorisée.

Il faut toutefois rappeler qu’un processus de confidentialité et de sécurité très strict était déjà suivi par Galeon, avec l’aide de partenaires HDS audités par Orange Cyberdefense. L’Afnor a donc audité l’entreprise, en couvrant de nombreux aspects (techniques, réglementaires et pratiques). Cette certification met en avant Galeon comme étant un partenaire légitime, capable de maintenir les normes les plus élevées en termes de sécurité et de confidentialité des informations de santé.

Pourquoi être certifié HDS & ISO 27001 est-il si important ?

Les deux certifications ont une signification considérable :

  • La certification HDS (Hébergeur de Données de Santé) est délivrée par l‘Afnor et joue un rôle crucial pour les données de santé en France. Elle est conçue pour les entités qui traitent des données sensibles, telles que les hôpitaux (bien sûr), les prestataires ou logiciels dans le secteur de la santé. Son objectif principal est de vérifier que toutes ces entités respectent des normes strictes de sécurité et de confidentialité établies par la réglementation française (en particulier celles détaillées dans le Code de la santé publique français). Ces normes visent à protéger la confidentialité, l’intégrité et la disponibilité des données de santé tout au long de leur cycle de vie, de la collecte au stockage et à leur transmission. L’audit que toutes les entités doivent passer évalue différents aspects, notamment les contrôles d’accès, le cryptage des données, les procédures de sauvegarde, … etc.
  • En ce qui concerne ISO 27001, il s’agit d’une norme reconnue internationalement pour les systèmes de gestion de la sécurité de l’information. Elle fournit une approche systématique pour gérer les informations sensibles de l’entreprise, en assurant leur confidentialité, leur intégrité et leur disponibilité. Certains de ses rôles sont les suivants :
  • La création d’un système de gestion de la sécurité de l’information,
  •  Une approche de la gestion des risques,
  • La conformité légale et réglementaire,
  • La confiance accrue des clients,
  • Et plus encore…

Avec ces deux certifications, Galeon répond « officiellement » aux impératifs éthiques rencontrés dans le secteur médical, incarnant la puissance de l’innovation technologique dans le domaine médical. En libérant le potentiel de l’IA, l’entreprise ouvre la voie à un système de santé plus sûr, plus efficace et plus collaboratif.

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Votre ADN Crypto : quel type d’investisseur crypto êtes-vous réellement ?

Dites-nous quelle stratégie crypto vous souhaitez adopter, et nous vous dirons quel investisseur crypto vous êtes. 

Investisseur de la première heure ? HODLer dans l’âme ? Chasseur de pépites crypto ? Les catégories sont multiples et il est possible que vous apparteniez à plusieurs d’entre elles. 

Découvrez quels sont les statuts qui vous ressemblent le plus.

1/ Le débutant ou l’investisseur crypto novice

Débutant n’est pas forcément un terme péjoratif, il faut bien commencer quelque part après tout. Vous vous en doutez, l’investisseur débutant crypto ne sait pas réellement par où commencer, mais a senti qu’il était bon d’investir à un moment dans la crypto. 

Si vous vous retrouvez dans cette catégorie de débutant, il est recommandé de vous instruire sur les sujets liés à la crypto et sur l’actualité environnante, notamment pour construire au mieux son Wallet

2/ L’investisseur Crypto Early

Dans un style similaire au précédent, le Crypto Early arrive à une période intéressante du développement d’une crypto ou d’une technologie.

Bien qu’il ait connaissance des risques et des enjeux potentiels associés, cela ne l’empêchera pas de prendre le risque de s’incruster dans l’écosystème du projet. 

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3/ L’expert crypto

L’expert investisseur crypto se démarque ici parce qu’il est à peu près calés sur tel ou tel écosystème tel que les NFT, la DeFi ou encore les jeux Play-to-earn.

Toujours à l’affut des derniers projets, il est la référence en la matière. Attention toutefois, il peut être difficile de le suivre car il a toujours un mille trains d’avance. 

4/ Le profil “trader” 

Le trader crypto est un trader somme toute qui gère ses actifs de manière similaire, même numérique. Ainsi, il connaît le marché et ses risques et préfèrent miser sur des investissements long-terme

5/ Le traqueur de gemmes

Autrefois chasseurs d’or, les traqueurs de gemmes cherchent parmi la liste des tops crypto dans le but de détecter les pépites de demain. L’idée étant que nombreux sont les projets crypto qui fleurissent chaque jour, pourquoi ne pas profiter d’une potentielle hype. 

Le traqueur crypto misera sur la période pendant laquelle la pépite trouvée va prendre de la valeur. Il prendra soin de revendre le tout avant la chute des prix. Bonus  pour déterminer si vous êtes un chasseur de gemmes : tenter d’énumérer plus de 50 projets crypto. 

6/ Le fameux investisseur crypto HODLer

Le but d’un HODLer est de maximiser la plue value réalisée in fine sur la vente de ses cryptos. Attention, il n’est pas pressé pour autant de revendre immédiatement ses biens. 

Les HODLer vont avoir tendance à miser dans un premier temps sur des stablecoins ou des bitcoins, points d’ancrage du bon investisseur. 

investisseur crypto HODLer

7/ Une Whale (une baleine en crypto)

Le Whale est un investisseur qui “a de la bouteille”. Il a su obtenir sa réputation et sa richesse en termes de connaissance sur la crypto grâce à ses investissements précédents. Peu importe la méthode, ce qui compte, c’est son avis affûté sur la question. 

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8/ Les fans de Satoshi aka les Bitcoin Maximalistes

Une dernière catégorie concerne les natifs de la première heure, ceux qui ont suivi et qui continuent encore aujourd’hui, à faire vivre le mythe Satoshi

Derrière celui dont on ne connaît semble-t-il pas l’identité, on retrouve le Bitcoin, mère crypto parmi toutes les cryptos et sur laquelle, les puristes de la première heure soutiennent le mouvement de décentralisation et de la technologie blockchain. 

Le but de cet article est avant tout de simplifier les concepts techniques liés aux crypto-monnaies, afin de les rendre accessibles à tous. Ces propos n’engagent que leur auteur. Il n’a pas vocation à conseiller le lecteur sur ses investissements.

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7 piliers pour investir dans une crypto durable

Investir dans une crypto durable ne requiert pas forcément de l’expérience dans le milieu, du moins, il est nécessaire de prendre du recul sur plusieurs points. 

Au-delà de l’aspect recherche pour déterminer les cryptos prometteuses dans les prochains mois et les prochaines années, quelques éléments clef vous permettent d’avoir confiance dans un projet émergeant. 

La question que l’on peut se poser dans tout ça étant la suivante : qu’est-ce qui fait d’une crypto-monnaie, une crypto durable ? 

Pour s’assurer de la solidité et de la longévité de crypto prometteuse, voici quelques éléments importants.

1/ Une crypto durable avec une technologie solide 

Elle être soutenue par une technologie robuste et innovante. On ajoute à cela, une architecture sécurisée, une scalabilité adaptée à la demande croissante et des fonctionnalités qui répondent aux besoins réels des utilisateurs.

crypto durable base solide architecture

2/ L’utilisation répandue d’une crypto durable

L’utilisation répandue et ajoutons même à cela, son adoption, de manière générale. Une crypto durable a besoin de ces éléments pour être viable sur le long terme. Si elle parvient à créer un écosystème où les utilisateurs, les commerçants et les entreprises l’acceptent comme moyen de paiement, cela renforce sa valeur et sa durabilité.

3/ La force de la communauté 

Pour pouvoir faire grandir la réputation d’une crypto, une communauté active est nécessaire. Par “active”, on entend : une communauté engagée au quotidien. Par effet de levier, le projet met tout en place pour consolider l’écosystème sur lequel compte les utilisateurs, cela passe notamment par la résolution de problèmes potentiels. C’est d’ailleurs cette communauté qui soutient la crypto durant des périodes de Bear ou de Bull Market. 

crypto durable communauté solide

4/ Privilégiée la sécurité dans le développement d’une crypto

La sécurité est primordiale pour une crypto durable. Logiquement, d’ailleurs, puisqu’il faut penser à la communauté d’investisseurs ont confiance au projet. D’où la mise en place de mesures de sécurité robustes pour protéger les fonds et éviter ainsi les piratages et les attaques malveillantes.

5/ Maintenir une transparence dans toute la conduite du projet 

Cette transparence est attendue aussi bien dans le fonctionnement, que dans les opérations environnantes. Les informations clef, telles que la gouvernance, les mises à jour du protocole et les transactions, doivent être accessibles au public. N’hésitez pas à consulter le White Paper mis à disposition. 

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6/ L’innovation continue pour s’adapter au marché crypto

Un bon projet crypto est un projet qui ne cesse d’innover et de mettre à jour les fonctionnalités et les fondations de la crypto.

Le marché connaît régulièrement des changements, parfois attendus, parfois inattendus. Il est donc important de se tenir informé(e) des dernières avancées technologiques afin de proposer des améliorations continues pour rester compétitif et pertinent sur la durée.

7/ La prise en compte des régulations extérieures

Bien que cela ne soit pas du ressort des projets cryptos, il faut toujours être avisé des réglementations et des politiques gouvernementales. Ces dernières pouvant avoir un impact significatif sur la durée de vie d’une crypto.

Pourquoi le Galeon doit être considérée comme une “bonne crypto” sur le long-terme ?

crypto durable buy back burn hopital

Galeon est une crypto prometteuse sur le long terme pour tous ces arguments. Une technologie solide qui s’adapte pour maintenir une architecture sécurisée avec une communauté qui s’agrandit jour après jour. 

L’écosystème Galeon est un environnement qui repose sur un même objectif, soutenir un objectif : Good for Humanity qui a du sens. La santé nous concerne tous, et l’amélioration du fonctionnement des hôpitaux y contribue. On pense notamment au concept du Buy back & burn qui permet de diversifier le mode de financement des hopitaux. 

Enfin, Galeon reste transparent sur la direction du projet. Des AMA sont organisées régulièrement afin de prévenir les utilisateurs des dernières fonctionnalités et de l’avancée des déploiements de ses services sur un territoire donné. 

Le but de cet article est avant tout de simplifier les concepts techniques liés aux crypto-monnaies, afin de les rendre accessibles à tous. Ces propos n’engagent que leur auteur. Il n’a pas vocation à conseiller le lecteur sur ses investissements.

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MNBC : comment les Etats et les banques centrales tentent de rattraper l’essor des crypto-monnaies

Inspiré par le concept de la crypto, la Monnaie Numérique/Digitale de Banque Centrale (MNBC/MDBC) est une monnaie émise de manière numérique par la banque centrale d’un pays souverain. 

Autrement dit, la MNBC n’est pas vouée à suivre le phénomène de décentralisation à la différence du concept de crypto, et qui plus est, elle est réglementée

Pour autant, cette nouvelle forme de monnaie numérique va se servir de technologies comme la blockchain dans son mode fonctionnement. 

Disposant d’une valeur fixe ou variable, selon la devise à laquelle elle est rattachée, la MNBC, tout comme la monnaie fiduciaire, pourra être utilisée dans le cadre de transaction, tant par des particuliers, que par des institutions. 

Dès lors, pourquoi les gouvernements et les banques, de manière générale, s’intéressent de plus en plus aux MNBC ? 

Au-delà de l’aspect sécurité, rapidité et transparence des transactions, d’autres facteurs poussent ces institutions à envisager un programme de MNBC.

MNBC décentralisation crypto

L’essor du Bitcoin et de la décentralisation, la réponse des banques centrales avec les MNBC

À la fin des années 2010, le Bitcoin et les autres crypto connaissent un essor fulgurant. Et avec cela, c’est l’esprit même de la distribution et l’échange de valeur que l’on remet en cause, avec le mouvement de décentralisation.

Cette idée que ce ne sont plus les banques centrales ou les institutions qui doivent contrôler l’ensemble des transactions.

? Cryptocurrency : hype ou réelle utilité ?

Outre l’émergence d’une communauté crypto, l’épisode du DIEM va venir accélérer les choses. Le DIEM, c’est la monnaie digitale développée par Meta (Facebook), avant 2020, et qui vise à renforcer l’expérience utilisateur. 

Le problème étant que les institutions et les banques centrales ont en face à elles, l’une des plus grosses entreprises de DATA au monde, et qui touche plus de 3 milliards d’utilisateurs.

Conséquence, à l’aube de sa sortie, le DIEM va rencontrer un certain nombre d’obstacles, dont certains liés aux réglementations. 

Entre temps, on le rebaptise le LIBRA, et les problématiques s’enchaînent : stabilité du cours, confiance de la part des gros investisseurs ou encore légitimé. 

Petit à petit, le projet va perdre ses alliés (PayPal ou encore Ebay), et en Novembre 2020, les perspectives sont réduites afin de finir par être adossé au dollar US. 

Ainsi, on a là, l’exemple d’une monnaie virtuelle, fonctionnant comme une crypto, mais qui allait être gérée et contrôlée par Meta. In fine, un beau projet, qui montre les prémisses des MNBC, mais qui perdra de son intérêt à cette période.  

Toutefois, forcés de constater que le Bitcoin et la crypto sont plus qu’implantés, et ayant déjà envisagés la question d’une monnaie numérique et stable, les Etats vont lancer plusieurs programmes de tests. 

Et cette solution, ce sont les MNBC (CBDC pour la version US, Central Bank Digital Currency).

MNBC banques centrales

Distinctions entre MNBC et crypto : centralisation, réglementation et adossement à une devise existante

La principale distinction que l’on relève, réside dans leur éthique et dans leur mode de fonctionnement. 

Les MNBC sont émises par l’État en tant que forme centralisée de monnaie numérique, tandis que les crypto-monnaies sont des monnaies numériques décentralisées, c’est-à-dire qu’elles ne sont pas émises par une autorité centrale.

Oui, les MNBC peuvent utiliser la technologie blockchain, mais leur forme centralisée les distingue. 

Ainsi, les banques centrales peuvent contrôler et réglementer la création, la distribution et la valeur des MNBC, ce qui n’est pas le cas pour les crypto. 

Et puis les MNBC vont être généralement adossées à une devise fiduciaire existante et ont une valeur fixe ou variable par rapport à cette devise, tandis que les crypto ont une valeur déterminée par l’offre et la demande sur les marchés de crypto.

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Les différentes catégories de MNBC : usage, mode de fonctionnement et technologies utilisées

Si nous ne disposons pas du nombre exact de MNBC qui se créait jour après jour, il est possible de les classer selon plusieurs catégories. 

  • Sur leur manière d’être utilisées : pour des transactions de détail ou de gros, ou pour des transactions interbancaires. Elles peuvent être émises en tant que monnaies de compte, c’est-à-dire qu’elles sont détenues par les banques commerciales comme une forme de monnaie de réserve, ou en tant que monnaies de paiement, qui peuvent être utilisées directement par les consommateurs et les entreprises.
  • Les MNBC peuvent également être classées en fonction de leur mode de fonctionnement, tel que le système de comptes distribués, les systèmes centralisés ou décentralisés. En outre, les MNBC peuvent être basées sur différentes technologies telles que la blockchain, les DLT, les technologies open-source et d’autres technologies similaires.

Au jour d’aujourd’hui, bien que la classification soit un peu floue, il est important de se rappeler que les MNBC sont considérées comme de la monnaie car émises par les banques centrales, et utilisées comme moyen de paiement

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Exemple de MNBC 

Si aujourd’hui, il n’existe pas encore de MNBC officiellement émises et utilisées dans le monde, plus de 60 banques centrales et institutions tentent d’établir des programmes pour l’avenir : 

  • La Banque centrale (BC) de Chine travaille sur un programme de MNBC appelé DCEP (Digital Currency Electronic Payment), qui a déjà été testé dans certaines villes du pays. ? Sur ce point, des problèmes de traçabilité et de contrôle des dépenses sont soulevés.
  • La BC des Bahamas a lancé en 2020 un pilote de sa MNBC, appelée Sand Dollar, qui est actuellement en cours d’expérimentation.
  • La BC des Îles Caïmans travaille sur un projet appelé Project Sand Dollar, qui devrait être lancé prochainement.
  • La Banque de France a lancé un programme expérimental de MNBC en mars 2020, qui vise à explorer les utilisations potentielles de cette technologie.
  • La Banque d’Angleterre a créé un groupe de travail pour explorer les possibilités de création d’une MNBC.
  • La Banque centrale européenne a également annoncé qu’elle étudiait la possibilité de créer une MNBC pour les citoyens de la zone euro. ♻️ Voir plus loin sur ce dernier point.

Pourquoi les MNBC sont de plus en plus développées par les institutions : raisons et avantages

Les raisons sont multiples. 

1/ Souvenir l’activité économique : en reprenant des technologies innovantes pour réaliser des transactions (blockchain, DLT…etc), les MNBC peuvent être redistribués directement par les banques centrales aux particuliers et entreprises de manière plus rapide, moins coûteuse et plus sécurisé.

2/ En période de crise économique : les banques centrales pourraient ainsi aider les gouvernements à fournir une aide ciblée à certaines zones ou à certains groupes de personnes.

3/ Améliorer la traçabilité des transactions : ces dernières pourraient être tracées, avec à la clef, la possibilité de mettre à jour en temps réel, les résultats d’une activité économique. 

En résumé : rapidité, efficacité des transactions, une stabilité de l’activité économique, la possibilité de pouvoir agir mieux dans l’urgence, la transparence des échanges et la réduction des coûts. 

? Bien entendu, il s’agit là, des raisons, d’un point de vue objectif.

L’écologie, un angle pour concurrencer les entreprises privées sur le développement d’une MNBC verte

En-dehors des cas de régulation, les banques centrales et les institutions prennent conscience des enjeux de la numérisation de la monnaie et des nouvelles technologies, avec en plus de cela, une forte tendance à la décentralisation.

Dans le cadre de l’UE, la question est à l’étude pour aller dans le sens de la lutte contre le réchauffement climatique. Ainsi, l’idée discutée actuellement serait de créer un compte nommé “compte CO2”, un compte alimenté en euro-vert, une MNBC qui récompense les efforts des citoyens.

Toujours à l’étude, le concept serait le suivant : dès que des émissions ou des efforts réalisés à cet effet seront comptabilisées, cela donnera lieu à l’émission d’un euro-vert. Par exemple, si un citoyen achète un vélo électrique ou un vélo.

On imagine la complexité de la mise en place de ces mesures à l’échelle d’un pays, et qui plus est, à l’échelle européenne. Toutefois, cela pourrait venir donner un attrait au MNBC, pour se démarquer éventuellement de certaines crypto.

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En bref

  • Les MNBC sont des monnaies numériques émises par les banques centrales d’un pays souverain et peuvent utiliser la technologie blockchain dans leur fonctionnement.
  • Les banques centrales peuvent contrôler et réglementer la création, la distribution et la valeur des MNBC, ce qui n’est pas le cas pour les crypto.
  • Les MNBC peuvent être classées selon plusieurs catégories, notamment en fonction de leur utilisation, de leur mode de fonctionnement et de la technologie utilisée.
  • Plus de 60 banques centrales et institutions travaillent actuellement sur des programmes de MNBC, comme le DCEP en Chine, Sand Dollar aux Bahamas, ou encore le projet Sand Dollar aux Îles Caïmans.
  • L’écologie est également un angle d’approche pour concurrencer les entreprises privées, avec l’idée de créer un compte nommé “compte CO2” qui récompense les efforts des citoyens dans la lutte contre le réchauffement climatique.
  • Les avantages des MNBC sont la rapidité, l’efficacité, la transparence des transactions, la stabilité de l’activité économique, la possibilité de pouvoir agir mieux dans l’urgence et la réduction des coûts.
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